► Cosmic-Era.com - Gundam 00 - Musique -
► Wana
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Titre : Wana ("Traquenard")
Situation : Premier ending de "Mobile Suit Gundam 00"
Compositeur : The Back Horn
Arrangeur : The Back Horn
Auteur : Eijun Suganami
Interprète : The Back Horn
Adaptateur : Saga [traduction "karaoke"]
| - Japonais - | - Français - |
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Zetsubou wa amai wana Tozasareta sono tobira Kokoro ga senjou dakara Dare ni mo sukuenai Zenmai no shinzou ga Unmei ni ayatsurare Buriki no heitai-tachi wa Satsuriku wo hajimeru Inochi sae mo moteasobu no ka Kowarekaketa otogi no kuni de Mune no oku ni hashiru itami wo Douka zutto wasurenu mama de Yokubou wa doku ringo Te ni ireta mono wa nani Mirai no kodomo-tachi e to Nokoseru mono wa nani Ai wo shirazu yureru yurikago Moetsukiteku nemuri no mori de Tomo ni ikiru yorokobi sae mo Kiete shimau tooku Yasashisa wo shinji Subete wo yurushite Itsukushimu you ni tada Wakachiatte Wakariatte Inochi sae mo moteasobu no ka Kowarekaketa otogi no kuni de Mune no oku ni hashiru itami wo Douka zutto wasurenu mama de Ai wo shirazu yureru yurikago Naze bokura wa umareta no darou Haruka kanata inori no you na Komoriuta ga hibiku Yasashisa wo shinji Subete wo yurushite Itsukushimu you ni tada Wakachiatte Wakariatte |
Il m'a enfermé, le beau désespoir, Pour me piéger dans un doux traquenard. Et mon âme occupée à guerroyer, Personne ne peut plus la sauver. Jusqu'à mes tréfonds sont manipulés, Sont contrôlés par la fatalité. Et les soldats, tout de fer blanc habillés, Commencent à remplir les charniers. Est-ce que même de la vie on peut se jouer Au pays merveilleux, à moitié dévasté ? La douleur qui parcout mon cœur dans son entier, Pour rien au monde je ne voudrais l'oublier. Le désir est une pomme empoisonnée. Que peut-on donc bien pouvoir y gagner ? Quant aux enfants, de l'avenir héritiers, Qu'est-ce qui pourra bien leur rester ? Délaissé par l'amour, repose un berceau tanguant Dans le brasier qui dévore le bois dormant. Même si tous on vit ensemble d'un même entrain Il finit par s'enfuir au lointain. Croyant un peu en la bonté, Etant prêt à tout pardonner... Tout ce que je veux c'est pouvoir aimer, Et pouvoir partager... Et pouvoir échanger... Est-ce que même de la vie on peut se jouer Au pays merveilleux, à moitié dévasté ? La douleur qui parcout mon cœur dans son entier, Pour rien au monde je ne voudrais l'oublier. Délaissé par l'amour, repose un berceau tanguant, Tandis que notre naissance nous laisse hésitants. Comme une prière venant de lieux insondés, J'entends la berceuse résonner. Croyant un peu en la bonté, Etant prêt à tout pardonner... Tout ce que je veux c'est pouvoir aimer, Et pouvoir partager... Et pouvoir échanger... |
Une musique un peu chaotique, une manière de chanter assez décalée qui me plaît bien, les paroles multiplient les références aux contes de fées... Faut-il y voir un traumatisme d'enfance de leur auteur ?