L'Empire des sens /
Ai no Corrida, censé un chef-d'œuvre ou je ne sais quoi :
Un pr0n.
Et...et...c'est tout. Ah moui il y a une ébauche de scénario qui explique pourquoi ça vire au SM. Mais en fait non c'est juste deux personnages tarés.
Ou alors c'est le fait de l'avoir vu en BU qui m'a foutu les glandes.
Le roi et l'oiseau*
rires*
Euh ouais c'est bon, je l'avais pas vu alors qu'il est passé plein de fois à TV gnagnagna j'étais trop un noob blablabla mais c'est du passé
Grimault + Prévert = über. Non content d'être une leçon d'animation traditionnelle, cette version finale fait heureusement passer
Yorda et Ico la Bergère et le Ramoneur complètement au second plan, ce qui permet de se concentrer sur l'univers élaboré autour d'eux. Univers qui fourmille de trouvailles et de références cinématographiques ou historique explicites, notamment Metropolis et les régimes totalitaire divers (enfin surtout hitlérien). Et ya du mecha §
[spoiler]Mais ça faudra jamais un certain combo Laloux + Moebius
[/spoiler]
Summer Wars, 5.50€, parce qu'à Toulouse les cinémas ont du skill
Étant de base un fanboy de Mamoru Hosoda, j'avais des attentes assez énormes. C'est ce monsieur qui a notamment fait le premier film Digimon Adventure (préquelle), le sixième film de One Piece,
la Traversée du temps, Bokura no War Game, et dont les travaux ont fortement inspiré Diablomon no gyakushû.
Mais ignorons tous les titres autres que Bokura no War Game. Car Summer Wars en est une groooosse repompe presque totale, jusqu'aux scènes finales... Et c'est une tuerie absolue. 10 ans séparent les deux titres, 10 ans de maturité, à peaufiner et extrapoler le scénario original (vlam, 1h15 de plus!). Si le premier se passait sur l'internet de l'époque, celui-ci se déroule aux côtés de Oz, sorte d'ultime internet 4.0 centralisé et hyper-développé, dont le piratage sème forcement la pagaille.
Mais il ne faut pas s'attendre à film manichéen à ce sujet (ololol technologie danger mdr), je l'ai trouvé plutôt neutre sur ce point, tant il montre aussi les côtés utiles.
Côté graphismes, les premières secondes (vues sur Oz) rappellent au fanboy qui est le parton, histoire qu'on puisse apprécier la patte graphique des équipes du monsieur, et parce que Sadamoto défonce tout avec ses personnages super expressifs en trois traits.
Sachant aussi que toute une partie se déroule durant un anniversaire en famille à la campagne (scènes de vie quotidienne tranquilles), on tient là une anthologie survoltée voire carrément nekketsu qui se jouent des genres. A conseiller au moins à toute personne ayant fait du PvP et posé les pieds sur facebook.
Je m'empare du DVD dès que possible, à la seconde où je trouve une connexion pas trop passoire.